Roman pour la jeunesse d’Alain Germain
Premier tome de la série « Les Casse-Noisettes à l’Opéra »
Préface de José Martinez, danseur étoile au ballet national de l’Opéra de Paris
Oslo Jeunesse Avril 2011
« Victor, Diana et Chloé ont réussi le concours d’entrée à l’École de Danse de l’Opéra de Paris.
Le surnom de « Casse- Noisettes » leur est très vite attribué, car ils sont sélectionnés pour apparaître sur la prestigieuse scène du Palais Garnier dans le ballet du même nom.
Enfermés par erreur dans la réserve des costumes, les trois jeunes danseurs trouvent, dans la doublure d’une cape, un message qui les met sur la piste d’un mystérieux parchemin…
Cette découverte va transformer leur vie : les voilà dotés de pouvoirs extraordinaires, qu’ils ont bien du mal à maîtriser !
Au cours d’une représentation de Casse-Noisette, il leur faudra pourtant les mettre en pratique…
Réussiront-ils, grâce à leur perspicacité et à leurs dons hors du commun, à démasquer les malfaiteurs qui hantent les coulisses ? »
Trois petits rats à l’Opéra, son dernier roman pour la jeune classe est à la fois un polar et une évocation de la vie mythique des petits rats de l’Opéra, personnages chers à son cœur qu’il aurait sans doute aimé être et qu’il n’a jamais pu devenir. L’ouvrage est fascinant car ses trois « Casse-Noisettes » sont en fait trois enfants à l’image de tous ceux qui veulent rentrer (et qui entrent) dans ce lieu quasi inaccessible qu’est l’Ecole de danse de l’Opéra : plus réels que réels dans leur comportement, ils vont vivre une histoire passionnante au sein de ce temple légendaire de la danse qu’est le Palais Garnier !
Or cette histoire, loin d’être un conte de fées, n’est pas si loufoque que cela bien que teintée de surréalisme et de surnaturel. En outre, comme tout polar qui se respecte, il tient en haleine jusqu’au bout, ne livrant la clef de l’énigme qu’au tout dernier acte. Quant au style, il est vivant, alerte et gai, plein de jeunesse et d’allant, réellement à l’image de son auteur…
Un ouvrage par conséquent à mettre entre toutes les mains, qui se lit avec beaucoup de plaisir et qui ravira, à n’en point douter, autant les petits que les grands ! »
Jean-Marie Gourreau . Critiphotodanse