Création à l’Hôpital Saint-Louis, Paris, du 2 au 26 octobre 2007, pour le quadricentenaire de l’Hôpital Saint-Louis
Coproduction Hôpital Saint-Louis – Compagnie Alain Germain
Textes : Alain Germain
Musiques originales : Isabelle Aboulker, Jérôme Lemonnier
Mise en scène, chorégraphie, décors et costumes : Alain Germain
Lumières : Allain Vincent
Distribution : Andreas Jäggi, Yves Gourvil, Magali Paliès, Marie-Anne Tran, Sébastien Brohier, Benoit Marchand, Xavier Clion, Fabrice Coccitto, ainsi que Robert Expert et Erika Guiomar pour les concerts à la Chapelle
« L’esprit Saint-Louis...
Soigner, guérir, apaiser, transmettre: telles sont les missions de la communauté hospitalière et le quotidien de l’hôpital Saint-Louis depuis 400 ans. De tous temps pionnier de l’évolution de la médecine, l’hôpital Saint-Louis nous rend dépositaires et garants de valeurs d’humanité qui se perpétuent depuis un édit de 1607, signé à Fontainebleau par le bon roi Henri et un certain Maximilien de Béthune plus connu sous le nom de Sully.
… un patrimoine, mélange des idées futuristes et des architectures, qu’il convient de commémorer. »
Jean-Patrick Lajonchère, Directeur de l’hôpital
« D’habitude on ne se presse pas pour aller à l’hôpital. mais là, une exception s’impose. A l’occasion du quatrième centenaire de l’établissement, on donne dans le cadre inattendu du Musée des Moulages un spectacle si rempli d’énergie qu’on en repart pétant de santé. La mission d’Alain Germain, homme orchestre de la création artistique, était de retracer l’histoire de l’établissement. Non seulement il s’acquitte haut la main de ce cahier des charges, mais il le fait dans un éblouissant patchwork d’extraits de pièces ou de témoignages (celui de Verlaine par exemple), d’airs lyriques et de chansons populaires. Installé aux premières loges de part et d’autre d’une longue scène, le public est emporté dans un tourbillon de trouvailles. Tous le comédiens et chanteurs sont épatants… Vite, vite, il ne reste que quatre jours pour découvrir ce bijou caché. »
Pierre Vavasseur . Le Parisien