Le dernier fantôme de l’Opéra

Le Dernier Fantôme de l’Opéra

 

 

 

 

 

 

 

Roman pour la jeunesse d’Alain Germain

Oslo Jeunesse  Septembre 2011

 

 

«  Alain Germain nous livre un nouveau polar pour les jeunes. L’hommage à Gaston Leroux est explicite et voulu par l’auteur, qui, touche-à-tout de génie dont nous avons déjà parlé dans Danser, s’appuie sur des expositions qu’il a réellement mises en scène : l’une au Palais Garnier, l’autre à la Bibliothèque nationale de France.

Aussi réussi que son précédent roman du même genre (Trois petits rats à l’Opéra), avec son rythme soutenu et son écriture exigeante, c’est vraiment un bon livre. La preuve : les jeunes lecteurs adorent. »

Agnès Izrine . Danser

 

« Qu’il doit être fier, Gaston Leroux, de voir qu’il inspire encore, du fond de son éternité, des romans comme celui d’Alain Germain, metteur en scène, comédien, décorateur et costumier français, qui lui rend ici un si bel hommage !
Le dernier fantôme de l’Opéra fait partie de ces textes estampillés « roman jeunesse », alors qu’ils s’adressent à tous les publics, de tous les âges, de raison ou de déraison ; le genre que l’on offre à ses enfants et que l’on pique sur leur table de nuit, à peine sont-ils endormis.
Comment, en effet, ne pas retrouver ses dix ans aux côtés de Thomas, jeune héros décidé à découvrir si le fantôme de Leroux a réellement existé, courant et frémissant dans les dédales du palais Garnier, ses coulisses interminables, ses sous-sols inquiétants, sa cantine et ses immenses ateliers de costumes ?

Alors que l’exposition « Opéra côté costumes » organisée par l’oncle de Thomas (et réellement conçue par Germain à Garnier en 1995) bat son plein, un homme tombe mystérieusement d’un échafaudage et une femme disparaît.
Thomas peut alors commencer sa palpitante traque d’un spectre de spectre, sur fond de Mozart, Berlioz, Bizet, Verdi ou Monteverdi. »

Marine de Tilly . Le Point.fr

 

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