Mozart Requiem

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Mozart Requiem

 

 

 

 

 

 

Création : Opéra Royal de Wallonie, Liège (Belgique), le 16 janvier 1987

Création française : Opéra-Théâtre de Vichy, le 14 septembre 1991 avec le soutien de la Fondation Paribas

Reprise : Espace Jacques Prévert d’Aulnay sous Bois, Grand Théâtre de Nancy, Opéra Royal de Wallonie, Liège (Belgique), Opéra Comique, Paris

 

Version chorégraphiée et théâtralisée du Requiem de Mozart


Spectacle conçu, chorégraphié et mis en scène par Alain Germain

Musique : Wolfgang Amadeus Mozart

Décors et costumes : Alain Germain

Film : Anne Saint Dreux et Bruno Zincone

Lumières : Philippe Mermin et Allain Vincent

Distribution : (distribution belge) Fiona Danckwerts, Dominique Duysens, Eric Frédéric, Didier Herr, Frédéric Jacquemin, Pascale Legrand, Jean-Luc Milis, Nataly Rocetti, Mathias Simons et Youri van Den Bosch

Jennifer Smith/Cécile Perrin : sopranos, Anne Salvan/Françoise Martinaud : mezzos, Andreas Jäggi : ténor, Thierry Félix : baryton

(distribution française) L’Ensemble Vocal Michel Piquemal

L’Orchestre de l’Opéra de Nancy sous la direction d’Eberhard Kloke/l’Ensemble Orchestral de Paris sous la direction de Michel Piquemal

Cécile Berrebi, Fiona Danckwerts, Isabelle Kukafka, Bénédicte Leclerc, Céline Manil, Emmanuel Patron, Jean-Pierre Poisson, Lino Privitera, Laure Virazels et Anton Yakovlev

« Les danseurs et danseuses, longues silhouettes blanches, se meuvent lentement dans une perfection ralentie, hiératique. Parfois ils glissent comme de purs esprits, parfois, chaussés de blocs lourds et encombrants qui symbolisent la pesanteur, l’attachement de la condition humaine à la terre, ils évoluent dans un silence angoissant. Le ballet se poursuit par ce qui pourrait être une mise au tombeau pour se terminer par une saisissante vision de résurrection. Alain Germain fait montre d’une imagination sans bornes, d’une fantaisie débridée mais toujours intelligente et de bon ton. Le public, subjugué, a manifesté bruyamment son enthousiasme après avoir assisté à ce spectacle étonnant dans un silence impressionnant. »

Norbert Graindorge . La Libre Belgique

 

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